LA LUTTE CONTRE LA GRANDE CORRUPTION

18 décembre 2013

                           LA LUTTE CONTRE LA GRANDE CORRUPTION

 

  Il ne faut pas craindre de ruiner et de détruire l’économie de casino, c’est aussi salutaire que l’était l’anéantissement du Reich nazi. C’est au contraire le replâtrage continuel du système, sa continuation, sa survie absurde, l’acharnement thérapeutique à son sujet qui sont catastrophiques.

 

Il y a désormais partout dans le monde des gens de tout âge, de tout niveau, de tous métiers, qui sont capables de  faire tourner l’économie réelle, très bien et très efficacement. Ils en font d’ailleurs d’ores et déjà la preuve tous les jours. Malheureusement, ils sont harcelés et combattus férocement par des éléments des grands détenteurs de capitaux qui de ce fait arrivent à faire leur main mise absolue sur la totalité des marchés.

 

Nous pouvons aisément déduire de ces actions louches et inhumaines qui finissent par asphyxier la toute pauvre économie nationale, surtout si elle tente de résister à de véritables opérations de racolages dûment généralisées à tous les échelons du système que :

 

-La corruption elle-même est un système fortement structuré, géré à la base par des sous systèmes aux dimensions variantes d’une région à une autre, d’un pays à un autre.

 

-Ce système tentaculaire est géré au sommet par des staffs d’organisations extrêmement,  puissantes, coordonnés mathématiquement et diaboliquement par une  hiérarchie quasi militaire, ayant comme dirigeants suprêmes des dictateurs d’Etats étrangers hyper puissants qui assurent en outre la défense et la protection d’un ensemble imposant de consortiums pluridimensionnels.

 

-Dans ce macro système, la machine broyeuse de la spéculation fait le beau temps et la pluie verticalement, horizontalement, et évidemment aux niveaux des transversaux, à commencer par la libéralisation et l’encouragement à outrance de ce qui  s’appelle la spéculation populaire.

 

-Cette machine internationale,   régionale,  nationale, locale s’appuie de toute évidence  sur un réseau d’informations de la dimension de l’ONU et qui s’applique à dominer impitoyablement

au moyen de différents  réseaux de développement de la grande corruption internationale, nationale, régionale ,locale.  La dynamique insufflée scientifiquement et normalement s’appuie elle, sur les synergies de la haute spéculation assurée par des agents copieusement formés et surinformés.

 

De grâce donc, ne posons guère la question : qui contrôle très étroitement les investissements ? Ainsi les capitaux se baladent autour de la planète, entrent et sortent des pays comme dans un moulin, avec un taux de rendement absurde de 15%.

 

Comme on peut le  constater honteusement, parler chez nous de la lutte contre la grande corruption, c’est tout au plus ridiculiser les citoyens du fait que ce qui se voit de temps à autre, n’est que le  fruit des miettes de la petite corruption qui n’a rien à voir avec la corruption institutionnalisée par des organismes internationaux qui détiennent des marchés géants, et j’en passe !

 

On se moque douloureusement de «  la gueule » des gens ! La corruption n’est pas celle que nous nous représentons candidement. Toutefois,  profondément convaincues, et conscientes de l’ampleur du développement de marchés gérés  ouvertement par des cartels de la haute corruption, des ONG, fortes de leurs principes irréductiblement  humanistes, et de leur seule volonté citoyenne se refusent à        baisser les bras face à de tels agissements tristement ravageurs des économies nationales

 

Les super puissances économiques sauvagement mondialisées qui  ne reculent devant aucun scrupule, persistent et signent, en  se moquant éperdument de ce qui s’appelle « la commémoration de la journée internationale de la lutte contre la corruption » qui  jusqu’à nouvel ordre, gère  inhumainement et irrémédiablement les destins quotidiens des couches sociales populaires lamentablement paupérisées./.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

LA LUTTE CONTRE LA GRANDE CORRUPTION

18 décembre 2013

                           LA LUTTE CONTRE LA GRANDE CORRUPTION

 

  Il ne faut pas craindre de ruiner et de détruire l’économie de casino, c’est aussi salutaire que l’était l’anéantissement du Reich nazi. C’est au contraire le replâtrage continuel du système, sa continuation, sa survie absurde, l’acharnement thérapeutique à son sujet qui sont catastrophiques.

 

Il y a désormais partout dans le monde des gens de tout âge, de tout niveau, de tous métiers, qui sont capables de  faire tourner l’économie réelle, très bien et très efficacement. Ils en font d’ailleurs d’ores et déjà la preuve tous les jours. Malheureusement, ils sont harcelés et combattus férocement par des éléments des grands détenteurs de capitaux qui de ce fait arrivent à faire leur main mise absolue sur la totalité des marchés.

 

Nous pouvons aisément déduire de ces actions louches et inhumaines qui finissent par asphyxier la toute pauvre économie nationale, surtout si elle tente de résister à de véritables opérations de racolages dûment généralisées à tous les échelons du système que :

 

-La corruption elle-même est un système fortement structuré, géré à la base par des sous systèmes aux dimensions variantes d’une région à une autre, d’un pays à un autre.

 

-Ce système tentaculaire est géré au sommet par des staffs d’organisations extrêmement,  puissantes, coordonnés mathématiquement et diaboliquement par une  hiérarchie quasi militaire, ayant comme dirigeants suprêmes des dictateurs d’Etats étrangers hyper puissants qui assurent en outre la défense et la protection d’un ensemble imposant de consortiums pluridimensionnels.

 

-Dans ce macro système, la machine broyeuse de la spéculation fait le beau temps et la pluie verticalement, horizontalement, et évidemment aux niveaux des transversaux, à commencer par la libéralisation et l’encouragement à outrance de ce qui  s’appelle la spéculation populaire.

 

-Cette machine internationale,   régionale,  nationale, locale s’appuie de toute évidence  sur un réseau d’informations de la dimension de l’ONU et qui s’applique à dominer impitoyablement

au moyen de différents  réseaux de développement de la grande corruption internationale, nationale, régionale ,locale.  La dynamique insufflée scientifiquement et normalement s’appuie elle, sur les synergies de la haute spéculation assurée par des agents copieusement formés et surinformés.

 

De grâce donc, ne posons guère la question : qui contrôle très étroitement les investissements ? Ainsi les capitaux se baladent autour de la planète, entrent et sortent des pays comme dans un moulin, avec un taux de rendement absurde de 15%.

 

Comme on peut le  constater honteusement, parler chez nous de la lutte contre la grande corruption, c’est tout au plus ridiculiser les citoyens du fait que ce qui se voit de temps à autre, n’est que le  fruit des miettes de la petite corruption qui n’a rien à voir avec la corruption institutionnalisée par des organismes internationaux qui détiennent des marchés géants, et j’en passe !

 

On se moque douloureusement de «  la gueule » des gens ! La corruption n’est pas celle que nous nous représentons candidement. Toutefois,  profondément convaincues, et conscientes de l’ampleur du développement de marchés gérés  ouvertement par des cartels de la haute corruption, des ONG, fortes de leurs principes irréductiblement  humanistes, et de leur seule volonté citoyenne se refusent à        baisser les bras face à de tels agissements tristement ravageurs des économies nationales

 

Les super puissances économiques sauvagement mondialisées qui  ne reculent devant aucun scrupule, persistent et signent, en  se moquant éperdument de ce qui s’appelle « la commémoration de la journée internationale de la lutte contre la corruption » qui  jusqu’à nouvel ordre, gère  inhumainement et irrémédiablement les destins quotidiens des couches sociales populaires lamentablement paupérisées./.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

LA RUSSIE SUR LA VOIE DE L’EQUILIBRE MONDIAL

18 octobre 2013

Le monde est désormais loin de l’époque où il vivait un bipolarisme certain  et serein bien que les  spécialistes des stratégies de guerres parlaient de  l’ère de la guerre froide dirigée ostentatoirement par les deux  super puissances de la planète qui se partageaient le monde, sans gêne ni le moindre scrupule.

Les Etats-Unis d’Amérique (USA) et leurs alliés d’une part, et l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) d’autre part, constituaient de véritables pactes de défense de leurs alliés.  Fortes de leur puissance matérielle et de leur arsenal de  dissuasion, et de persuasion, elles n’hésitaient pas un instant à opposer leurs vétos respectifs au Conseil de Sécurité de l’Organisation Internationale des Nations Unies (ONU), dans le but déclaré de se neutraliser mutuellement, et d’imposer leur dictat au vu et au su de l’ensemble de la communauté internationale. 

De ce fait, cette  dernière se voyait irréversiblement divisée en deux grandes parties en fonction dudit pacte de défense et d’appui mutuels définissant clairement et sans une quelconque ambigüité des clauses   d’accords par lesquels, les  grandes puissances s’engageaient formellement à défendre et à protéger, sans réserve aucune les Etats dépendants  cosignataires des pactes, en contre partie de la mise à la disposition de leurs protecteurs  leurs  richesses souterraines et l’intégralité de leurs territoires pour servir de bases aux forces protectionnistes.

Mais, cet état de choses devait connaître de profonds bouleversements avec la chute du mur de Berlin, en 1989, comme suite logique à l’écroulement et au démantèlement quasi total de l’URSS.La Russieperd alors l’une après l’autre les Républiques alliées qui réclament de vive voix leur autonomie sinon leur indépendance. Elle s’est vue acculée à se rendre à l’évidence.

Dorénavant, elle doit compter exclusivement sur ses propres moyens, humains et matériels tant pour survivre que pour sauvegarder sa propre  existence, face aux menaces et aux intrigues orchestrées  tout azimut par le camp occidental, converti en adversaire très redoutable, misant stratégiquement sur la situation lamentable des droits de l’homme.

Toutefois, la nouvelle république de Russie semble se reprendre petit à  petit,  un rythme de redressement économique indéniable, pour faire face à la déroute qui prévaut sur le plan intérieur, dans tous les domaines. Et ce, grâce à une politique  d’austérité rigoureuse, et à une libération mesurée  et contrôlée du commerce intérieur.

Des slogans  de démocratisation sévèrement calculée se font découvrir  par l’envoi de signes prémonitoires, quoiqu’hésitants et timides. Cela débouche sur une certaine ouverture sur le monde extérieur, par le biais de médias à la solde de l’Etat, pour redorer le blason et servir de pare façade aux yeux de l’Occident.

Cependant, il faudrait attendre jusqu’au pourrissement de la crise irano-américaine par le truchement de sanctions particulièrement drastiques imposées àla RépubliqueIslamiquede l’Iran qui refuse la moindre concession sur le développement de son uranium à des fins industrielles,  économiques et technologiques, pour remarquer la pertinence décisive du rôle dela Russiedans la défense de ses intérêts et de ceux des Iraniens.

De tels signes prometteurs de soutien aux pays amis vont  se concrétiser et s’affermir dans un but précis, celui de soutenir ouvertement et substantiellementla Syriedans la guerre  qu’elle livre à des mouvements  jihadistes de combattants venus de   l’extérieur et plus exactement de pays voisins, conseillés et encadrés parla CIAet par les services de renseignements  extérieurs  de pays  occidentaux.

Le soutien dela Russieàla Syrieest suffisamment clair, que ce soit sur le plan de l’armement sophistiqué ou sur le plan du soutien diplomatique devant les Instances Internationales, pour infléchir la position américaine s’agissant de l’utilisation des armes chimiques contre des éléments de l’Armée Syrienne Libre(ALS) , et contre les populations censées apporter un soutien moral à l’opposition. 

Le monde entier a constaté  jusqu’à quel pointla Russiepourrait appuyer et soutenir ses amis, par des actes concrets et dûment palpables en réussissant même à  s’opposer fermement  et systématiquement aux positions américaines. .Les observateurs  internationaux n’on pas manqué de remarquer que le Conseil de Sécurité de l’ONU ne pourrait rien faire sans les initiatives audacieuses dela Russie.

Désormais, il serait permis d’oser affirmer quela Russies’est mise sur la voie d’un équilibre mondial : celui de la résurrection d’une bipolarité agissante, fiable et suffisamment  efficiente pour inquiéter sérieusement l’Occident et rassurer sereinement ses amis. /.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

MAROC EDUCATION : DE LA DEPERDITION A L’IMPASSE ?!

18 octobre 2013

       Le bateau  de l’Education au Maroc connaît actuellement des moments très difficiles. Il court des risques  absolument angoissants dont la dangerosité n’a point besoin d’une quelconque  démonstration de  sorciers, ni de démagogies savamment conçues et élaborées par d’éminents spécialistes d’ultimes opérations de sauvetage de dernière minute, convaincus et rompus aux grands remue méninges pour que soient posés  pour la première fois, les véritables problèmes qui gangrènent le paysage pédagogique et professionnel du domaine de  l’Education dans toutes ses amplitudes et diversités.                                                   

Les difficultés rencontrées, à l fois, par les élèves et les enseignants,, comme suite logique à l’arabisation de l’enseignement des matières scientifiques aux deux cycles du secondaire, faisaient partie du domaine de l’interdit, d’un tabou  aux confins sociopolitiques et socio culturels,   encore totalement en friche.

Des générations entières de jeunes marocaines et de jeunes marocains  furent  sacrifiées, non sans une  impitoyable préméditation culpabilisante  sur l’autel d’un nationalisme linguistico culturel  et politique douteux, aux perspectives incertaines, et aux conséquences inimaginables comme le souhaitaient les défenseurs acharnés d’une arabisation à outrance, au fanatisme débridé, quasiment aveugle et revanchard.

Soigneusement tramée, l’intrigue devait être appuyée   d’un arsenal argumentaire cousu et préfabriqué sur mesure, ou plutôt à la mesure d’enjeux politiques purement électoralistes.

Douloureusement parvenus au Supérieur, les étudiants se trouvaient confrontés à un double handicap: le blocage linguistique, discursif et scientifique.

De surcroît, un autre problème, et qui n‘est pas des moindres, vint dramatiser tragiquement toutes les données, réside ni plus ni moins dans des programmes condamnés à demeurer sous jacents aux exigences des finalités invoquées  par des décideurs détenteurs de pouvoirs le moins que l’on puisse en dire, abusifs.

 Et ce n’est nullement un hasard, si on voit  aujourd’hui se développer une tricherie sans frontières, un clientélisme et un opportunisme pervers, à  tous les niveaux du domaine éducatif : des bourses fabuleuses à l’étranger au profit  d’étudiants descendants de familles  particulièrement nanties, et influentes, furent octroyées sans tenir compte du principe fondamental de l’égalité des chances. Inutile de parler de toutes les formes d’interventionnisme qui foisonnent partout, au profit des classes privilégiées.

Par ailleurs, on assiste malgré tout, à la démultiplication de faux débats sur le rôle des langues arabe et française dans la promotion des dialogues de langues, de cultures, de religions. Il s’agissait de noyer définitivement le poisson, afin de ménager des susceptibilités supposées appuyer les intérêts des défenseurs de l’arabisation des enseignements scientifiques et en accordant une importance toute particulière, à ce qui s’appelait  la maîtrise du discours et du raisonnement scientifiques, dans les deux langues, lesquelles à vrai dire , se livraient des combats sourds et à découvert, tellement étaient grands  les enjeux socioéconomiques, sociopolitiques qui présidaient à la détérioration des relations sévèrement atteintes entre  francisants  et  arabisants. 

Les débats étaient on ne peut des plus passionnés, en dépit des approches d’apaisement entreprises par les uns et les autres, en vue de préserver la formation des enseignants des  vicissitudes qui semblaient menacer irréversiblement l’avenir de la marocanisation des cadres, projet stratégique de grande envergure.

C’est donc tout l’avenir de l’Education au Maroc, tous cycles confondus, qui se prépare à connaître des velléités de  remous suscités par de profondes interrogations sur tous les plans et à tous les niveaux.

 La désignation d’un ancien ministre de l’Education Nationale à la tête du département scolaire dans le nouveau gouvernement dirigé par l’Islamiste AbdelIlah Benkirane,qui vient d’être reçu par le Roi du Maroc, témoigne si besoin est, de la vulnérabilité de l’Education Nationale au Maroc qui est à la veille de profondes remises en question  devant nécessiter indubitablement  la prise de décisions audacieuses et courageuses capables de répondre, un tant soit peu, aux attentes de la société marocaine, en général, et à celles de la famille de l’Education Nationale qui désormais semble ne plus supporter le moindre atermoiement qui ne pourrait que porter un sérieux préjudice à l’avenir du peuple marocain./.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

MAROC EDUCATION : UNE CARTE DE BALISAGE QUI RESTE A DECRYPTER

30 août 2013

MAROC EDUCATION : UNE CARTE DE BALISAGE QUI RESTE A DECRYPTER

 

    Ce n’est pas un hasard ni un secret pour personne de constater avec une grosse déception la sournoiserie et/ou l’incapacité d’une certaine classe politique marocaine qui s’obstine toujours à comprendre à sa façon , à interpréter et/ou à saisir, comme bon lui semble, la portée pluridimensionnelle du discours royal prononcé par Sa Majesté Le Roi Mohammed IV, à l’occasion de la commémoration  dela Révolutiondu Roi et du Peuple.

 

Rien d’étonnant à une telle attitude qui se fait remarquer quasi régulièrement, au lendemain de chaque intervention royale à propos d’un thème socioéconomique, sociopolitique, ou socioculturel, entre autres.

 

Les discours royaux de 2012 et 2013, à la même occasion, se distinguent avec une clarté   et une  attention   toutes particulières, par l’intérêt accordé à l’état de  ce qu’il est désormais qualifié de cas pathologique  fort inquiétant qui caractérise, indubitablement, le paysage éducatif national du scolaire au supérieur, sans la moindre surprise chez l’ensemble des partenaires sociaux, habitués au phénomène désastreux dont souffre l’Education,la GrandeMèredela Nationmarocaine.

 

Le plus grave, cependant chez la classe politique est loin d’être appréhendé pédagogiquement, culturellement, politiquement, économiquement.

 

Encore faudrait-il  que les moyens intellectuels, logistiques, dont elle dispose, soient effectivement en mesure de répondre avec efficience aux besoins et aux attentes  de la société et du peuple marocains.  Sur le plan de la qualité, sur celui des opportunités que le secteur éducatif est censé offrir  à une jeunesse en proie chronique à un chômage terrifiant et tuméfiant sans conteste, aux conséquences irrémédiablement ravageurs, à tous les niveaux et sur tous les plans, de sombres et lourdes incertitudes demeurent persistantes au sein de la grande majorité des foyers.

 

On est en face d’une impasse, et le mot ne serait nullement exagérant, suicidaire. L’on oublie que la société, les institutions représentatives, les différents partenaires, les acteurs principaux, n’ont pas le droit exclusif de s’approprier le discours royal, de le réciter, de le  répéter, de le réciter !

 

Tout ce beau monde oublie ou fait semblant d’oublier que sa présence à tous les échelons de la responsabilité hiérarchisante, est tributaire des mandats dont le peuple marocain l’a chargé compte tenu du contrat sociopolitique qui les lie constitutionnellement,  déontologiquement, logiquement, en conformité avec les lois, les principes démocratiques qui régissent les rapports inter sociaux, et intra nationaux.

 

Le contenu du discours royal s’est strictement focalisé intentionnellement sur l’état de l’Enseignement/Education au Maroc à partir d’un bilan rigoureusement établi, au moyen d’outils d’analyse épistémologique incisifs, en vue de proposer de larges perspectives d’amélioration de la situation d’une part, et de mettre en exergue les exigences et la notion de contrat supposé lier le domaine en question avec le marché du travail, d’autre  part.

 

Toutefois, le discours royal ne s’est pas proposé de donner des solutions définitives, laissant ainsi à la classe politique et à l’ensemble des acteurs et des partenaires professionnels et sociaux, le soin démocratique de lancer un processus d’investigations sur les voies et moyens susceptibles de concrétiser des outils de réflexion active et des démarches adéquates.

 

Par conséquent, en aucun cas, il ne s’agit de  s’approprier le discours royal, et d’en faire une production copiée collée, bien qu’il soit permis de réaliser et d’approfondir  des travaux  de sensibilisation et de familiarisation garantissant les pourtours, le cadre constitutionnel général et le contexte à respecter. Le discours royal donc, est de nature à favoriser, dans le cas de l’Education Nationale, une occasion d’imprégnation, d’orientation, et non plus un registre  clos d’instructions officielles contraignantes, démocratie et ouverture obligent.

 

En fin de compte, il convient impérativement et vitalement, si je puis dire, de lever  cette ambiguité enchaînante d’une dynamique hautement responsable et judicieusement créative.

Cessons, par conséquent, de feindre l’exécution de consignes limitatives de toute réflexion, de tout progrès de création, d’ajustement, de rectification, de correction, nécessitées par toute entreprise appelée à produire et non plus à reproduire des théories.

 

Ce n’est absolument  pas ce qu’attend le discours royal de la classe politique, ni des intellectuels, ni, à plus forte raison, des principaux acteurs nationaux. Il s’agirait, à mon sens, de capter la teneur et la quintessence d’une volonté royale d’impulsion à bon escient souhaitée et requise. /.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

 

 

FIGUIG, GRANDS REPERES DES CHEVALIERS DU DESERT

28 août 2013

             FIGUIG, GRANDS REPERES  DES CHEVALIERS DU DESERT

 

     La fabuleuse  Histoire de l’Oasis de Figuig ne saurait s’écrire exclusivement, comme habituellement, de personnages marquant une  traversée des déserts à la coloniale, ni comme celle de régions toujours dépendantes de grandes  puissances de nature et de traditions hégémonistes.

 

Aujourd’hui il est aisé de galvaniser des foules, même capricieuses, au  moyen de slogans préfabriqués sur mesure. C’est pour cette raison que des opportunistes usurpent  facilement et au rabais des soulèvements et même des révoltes ou des révolutions  populaires, lorsqu’ ils tentent, en vain, d’écrire l’Histoire authentique des peuples. Ils préfèrent se rabattre sournoisement sur des personnages calqués in texto de leurs  histoires, à eux.

 

Comme il serait controversé de citer des noms illustres, au risque d’en oublier d’autres ! Car, à Figuig, c’est toujours  l’ensemble des populations qui bougent dans le bon sens. Oui depuis toujours, comme toujours. Disons tout simplement que des mouvements de libération et/ou d’indépendance ont intimement besoin de leaders, lesquels leaders ont un besoin vital de masses populaires.

 

Aussi Figuig a-t-il plutôt besoin que l’on cite des noms d’Institutions qui ont éternisé les  évènements plus que les personnes. C’est le cas, entre autres, de deux grandes Ecoles impressionnantes, majestueuses, aux tons magistraux, de par  leurs rôles et leurs fonctions,  qui ne cessent d’évoluer à travers des âges et au vu des circonstances.

 

Le choix  des Institutions Scolaires par les militants nationalistes pour  la liberté et l’indépendance du Maroc n’est pas fortuit, ni le fruit d’un pur hasard. Il faudrait remonter jusqu’aux sources du mouvement nationaliste local, depuis les années 1939 pour comprendre certains des tenants et aboutissants des fondements  de ce mouvement spectaculaire ; du jamais vu dans les mouvements nationalistes de l’Histoire du siècle dernier.

 

Les stratèges locaux, qui bénéficient d’une aura conquise par des actions surhumaines, quasiment sur tous les plans, avaient l’avantage de connaître parfaitement les spécificités du terrain, ainsi que  celles des besoins des populations ; ils avaient pris le choix ultime et décisif   de la lutte contre l’ignorance et l’analphabétisme, comme moyen incontournable pour une meilleure  mobilisation éclairée et éclairante de la jeunesse Figuiguienne, tenant compte des exigences logiques d’une vision futuriste, à long terme.

 

En effet,  l’Ecole ENNAHDA et l’Ecole ALHASANIA, sous l’impulsion effective d’un groupe soudé et homogène constitué par LHAJ  MOHAMMED BEN FRAJ, de CHEIKH ADDOU, de MOHAMMED BELKHIR, parmi tant d’autres, symbolisaient et symbolisent toujours la pertinence du rôle de  la Science et du Savoir dans la sensibilisation des populations, des générations montantes et des générations futures, du fait  qu’il n’y a pas mieux qu’une conscientisation sociopolitique prise en charge et autonomisatrice , s’appuyant fermement sur le socle des facteurs « redoutables » , le Savoir et la Connaissance : libérer les esprits pour mieux libérer le pays , tel fut leur mot d’ordre d’un combat légitime.

 

L’autre rôle fondamental, et pas des moindres, fut, sans conteste, celui du slogan unificateur du Savoir et de la Connaissance : tous contre l’ignorance, tous contre l‘occupation  étrangère. N’oublions surtout pas que le protectorat français jouait malicieusement et pernicieusement la carte de la zizanie en vue de briser l’union pour la liberté de la Nation  du Maroc.

 

Depuis l’Indépendance du Royaume, les Institutions Scolaires implantées à Figuig, ont repris le flambeau de la lutte pour le progrès, le développement des aptitudes et des capacités des citoyennes et des citoyens, la participation collective et individuelle au combat quotidien pour la liberté de la pensée et l’indépendance de l’opinion personnelle, l’égalité des chances, la transparence, la paix et pour la démocratie .égalitaire D=DplusD.

 

Le rôle  des deux écoles consiste actuellement à donner l’exemple et à veiller sur l’application  des grands principes du développement humain, de la société marocaine dans son intégralité : doyenneté oblige, doyenneté exige, n’est-ce pas ?!

Leurs rôles ne cessent de se démultiplier, compte tenu des besoins de la régionalisation  et des défis de  la modernité. Elles sont chaleureusement respectées et même vénérées, rassurez-vous frères militants  pour les droits à la dignité, toute la dignité humaine/.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

 

 

FIGUIG, GRANDS REPERES DE

20 août 2013

             FIGUIG, GRANDS REPERES  DES CHEVALIERS DU DESERT                                                       

 

La fabuleuse  Histoire de l’Oasis de Figuig ne saurait s’écrire exclusivement, comme habituellement, de personnages marquant une  traversée des déserts à la coloniale, ni comme celle de régions toujours dépendantes de grandes  puissances de nature et de traditions hégémonistes.

 

Aujourd’hui il est aisé de galvaniser des foules, même capricieuses, au  moyen de slogans préfabriqués sur mesure. C’est pour cette raison que des opportunistes usurpent  facilement et au rabais des soulèvements et même des révoltes ou des révolutions  populaires, lorsqu’ ils tentent, en vain, d’écrire l’Histoire authentique des peuples. Ils préfèrent se rabattre sournoisement sur des personnages calqués in texto de leurs  histoires, à eux.

 

Comme il serait controversé de citer des noms illustres, au risque d’en oublier d’autres ! Car, à Figuig, c’est toujours  l’ensemble des populations qui bougent dans le bon sens. Oui depuis toujours, comme toujours. Disons tout simplement que des mouvements de libération et/ou d’indépendance ont intimement besoin de leaders, lesquels leaders ont un besoin vital de masses populaires.

 

Aussi Figuig a-t-il plutôt besoin que l’on cite des noms d’Institutions qui ont éternisé les  évènements plus que les personnes. C’est le cas, entre autres, de deux grandes Ecoles impressionnantes, majestueuses, aux tons magistraux, de par  leurs rôles et leurs fonctions,  qui ne cessent d’évoluer à travers des âges et au vu des circonstances.

 

Le choix  des Institutions Scolaires par les militants nationalistes pour  la liberté et l’indépendance du Maroc n’est pas fortuit, ni le fruit d’un pur hasard. Il faudrait remonter jusqu’aux sources du mouvement nationaliste local, depuis les années 1939 pour comprendre certains des tenants et aboutissants des fondements  de ce mouvement spectaculaire ; du jamais vu dans les mouvements nationalistes de l’Histoire du siècle dernier.

 

Les stratèges locaux, qui bénéficient d’une aura conquise par des actions surhumaines, quasiment sur tous les plans, avaient l’avantage de connaître parfaitement les spécificités du terrain, ainsi que  celles des besoins des populations ; ils avaient pris le choix ultime et décisif   de la lutte contre l’ignorance et l’analphabétisme, comme moyen incontournable pour une meilleure  mobilisation éclairée et éclairante de la jeunesse Figuiguienne, tenant compte des exigences logiques d’une vision futuriste, à long terme.

 

En effet,  l’Ecole ENNAHDA et l’Ecole ALHASANIA, sous l’impulsion effective d’un groupe soudé et homogène constitué par LHAJ  MOHAMMED BEN FRAJ, de CHEIKH ADDOU, de MOHAMMED BELKHIR, parmi tant d’autres, symbolisaient et symbolisent toujours la pertinence du rôle de  la Science et du Savoir dans la sensibilisation des populations, des générations montantes et des générations futures, du fait  qu’il n’y a pas mieux qu’une conscientisation sociopolitique prise en charge et autonomisatrice , s’appuyant fermement sur le socle des facteurs « redoutables » , le Savoir et la Connaissance : libérer les esprits pour mieux libérer le pays , tel fut leur mot d’ordre d’un combat légitime.

 

L’autre rôle fondamental, et pas des moindres, fut, sans conteste, celui du slogan unificateur du Savoir et de la Connaissance : tous contre l’ignorance, tous contre l‘occupation  étrangère. N’oublions surtout pas que le protectorat français jouait malicieusement et pernicieusement la carte de la zizanie en vue de briser l’union pour la liberté de la Nation  du Maroc.

 

Depuis l’Indépendance du Royaume, les Institutions Scolaires implantées à Figuig, ont repris le flambeau de la lutte pour le progrès, le développement des aptitudes et des capacités des citoyennes et des citoyens, la participation collective et individuelle au combat quotidien pour la liberté de la pensée et l’indépendance de l’opinion personnelle, l’égalité des chances, la transparence, la paix et pour la démocratie .égalitaire D=DplusD.

 

Le rôle  des deux écoles consiste actuellement à donner l’exemple et à veiller sur l’application  des grands principes du développement humain, de la société marocaine dans son intégralité : doyenneté oblige, doyenneté exige, n’est-ce pas ?!

Leurs rôles ne cessent de se démultiplier, compte tenu des besoins de la régionalisation  et des défis de  la modernité. Elles sont chaleureusement respectées et même vénérées, rassurez-vous frères militants  pour les droits à la dignité, toute la dignité humaine/.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

 

 

RE: Réactions de M.Mohammed Essahlaoui à un projet de l’I.S.C.A.B.M. proposé par ssi B ELMAAMMAR‏

24 juillet 2013
  • RE: Réactions de M.Mohammed Essahlaoui à un projet de l’I.S.C.A.B.M. proposé par ssi B ELMAAMMAR‏

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22/07/2013
 
RE: Réactions de M.Mohammed Essahlaoui à un projet de l'I.S.C.A.B.M. proposé par ssi B ELMAAMMAR‏ clearclearclear
À : mohamed essahlaoui
Cc : medbouchikhi@hotmail.com, l.essahli60@menara.ma
 
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De : mohammed bellamammer (sibelmaammar@hotmail.com) Cet expéditeur figure dans votre liste des contacts.
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À : mohamed essahlaoui (essahlaouimed@hotmail.fr)
Cc : medbouchikhi@hotmail.com (medbouchikhi@hotmail.com); l.essahli60@menara.ma (l.essahli60@menara.ma)
 
 
Bonjour SSI Mohamed

J’ai étudié votre commentaire et je vous comprends parfaitement tout en vous approuvant. Sauf erreur de ma part, je pense que les signes parlants de silence s’expliquent par la fait qu’on privilégie le statu quo quant au domaine inhérent à la Tariqua et Aux Zaouia. Et d’ailleurs pour cette raison que mon avant projet fait abstraction de tout ce qui touche à ce domaine et ne concerne que le reste qui n’est pris en charge nul part. Dans l’état actuel des choses ce qui est essentiel et urgent pour la future Fondation réside dans le fait de trouver des fondateurs en mesure de la financer et de la gérer éternellement. J’espère que les cousin messieurs Cheikh Boucheikhi,  Abdelhak Bouchikhi et Tayeb Bouchikhi se chargeront de trouver ces richards parmi les ODC en leur soumettant l’avant projet en question qui, je l’admets volontiers, doit être réaménagé dans le bon sens. Et voici ci dessous l’avis reçu de SSI Mohamed BENTAYEB que je remercie de son encouragement:
سيدي محمد بلمعمر
رمضان مبارك
شكرا لإطلاعي على ما وصل اليه مشروعكم في تاسيس الجمعية و حشد الآراء و الافكار من اجل إنجاحها
كما اتمنى لك التوفيق فيما ترومه من إعادة طبع كتابكم مع الإضافات و الإثراء الذي يتطلع اليه اولاد سيدي الشيخ و هذا دليل على نجاح عملكم و إقبال القراء عليه ، فرد الفعل الايجابي هو الذي يبين قيمة العمل و رضى القراء عنه
متمنياتي لك بالتوفيق و السداد 
و تحياتي و تقديري
Bien à vous et cordialement vôtre. Bonne journée. 


From: essahlaouimed@hotmail.fr
To: sibelmaammar@hotmail.com
Subject: Réactions de M.Mohammed Essahlaoui à un projet de l’I.S.C.A.B.M. proposé par ssi B ELMAAMMAR
Date: Sun, 21 Jul 2013 07:59:06 +0100

REACTIONS DE SSI MOHAMMED ESSAHLAOUI AU PROJET DE L’I.S.C.A.B.M.                                  PROPOSE PAR SSI BELMAAMMAR

 

        Comme on le sait partout dans toute l’étendue du Grand Maghreb, la notion de confréries ne date pas d’aujourd’hui ; tel est le cas de la Zaouïa du Marabout Saint de Sidi Cheikh Abdelkader ben Mohammed qu’Allah couvre de Sa Sainte Miséricorde.

 

Toutefois, il s’avère scrupuleusement indispensable de rappeler, ne serait-ce que brièvement, que Sidi Abdelkader ben Mohammed, descendant des Alboubakriynes,  Ouleds Sidna Abou Bakr  Assaddiq qu’Allah le Tout Puissant bénisse ainsi que l’ensemble des Compagnons du Saint Prophète Sidna Mohammed que la Prière et le Salut d’Allah soient éternellement sur eux tous.

 

Ce n’est certes pas un simple hasard si Sidi Abdelkader ben Mohammed, descendant de la famille des Alboubakriyines, prit l’un des flambeaux éclairant la voie des musulmans dans cette région, pour la sauvegarde,  la protection et la préservation de la Sunna Nabaouiya Acharifa, d’autant  que les guerres contre l’occupation étrangère faisait rage en Afrique du Nord et dans la région du Sahel.

 

C’est donc une position des plus légitimes que de poursuivre l’entreprise, sur le sentier honorable de ses ancêtres, à savoir se conformer à la Sunna du Prophète dans l’ensemble  des actes menés quotidiennement par les croyants profondément, intelligemment, lucidement, convaincus du bien fondé de la Sunna Nabaouiya incarnée par le Prophète Sidna Mohammed que la Prière et le Salut d’Allah soient sur lui, ainsi que sur tous ses Compagnons.

 

La création de la Zaouïa fut un évènement grandiose, par un des principaux pionniers qui se sont lancés sur la voie de la Sunna Nabaouiya  Almajida, qui n’est autre que Cheikh Abdelkader Ben Mohammed, afin de  combattre l’injustice, l’usurpation des droits élémentaires de l’être humain, en contribuant au développement et à  l‘émancipation de  ses  caractéristiques physiologiques, morales, intellectuelles, cultuelles, culturelles, spirituelles.

 

La Tariqa Alboubakriya, que l’on pourrait appeler en termes scientifiques modernes l’opérationnalisation de certains préceptes islamiques jugés parfois trop abstraits pour le commun des croyants, qui pourraient courir  le risque des confusions, des tentations, des mauvaises interprétations, surtout du fait que ces dernières devenaient souvent  synonymes de interprétations susceptibles de semer de la zizanie entre les populations manipulées par des agents occultes, appartenant ou de mèche avec le girond de l’occupation étrangère.

 

Pour ce faire, il fallait créer un local permanent, des repères interchangeables, s’organiser et distribuer des tâches et des rôles :

-Aider, secourir, héberger, nourrir des sans foyers, des personnes en désuétude dans les déserts. Les fonds et les moyens provenaient de dons offerts par des tribus, animées spontanément de bénévolat et de sacrifice.

 

 -Enseigner le Coran Saint, les Hadiths, les procédés d’ablution avant la prière, l’abstinence pendant le mois du Ramadan, les techniques de concentration, de méditation, de communion et de communication avec Dieu en conformité avec les principes de la Sunna Nabaouiya Acharifa, les objectifs et les règles de la Zakat, un  des piliers fondamentaux de la croyance, initiateur à l’esprit de solidarité entre tous les êtres humains.

 

  -Enseigner les sciences et leurs différentes composantes, dont les mathématiques, la physique, la chimie, la vie et la terre, l’étude de la littérature, l’analyse des discours oraux et écrits et les arts du convaincre, la poésie, la pensée, la philosophie, la médecine expérimentale, l’histoire et la géographie, etc.

 

   -Enseigner le Jihad dans ses configurations introspectives et la lutte personnelle acharnée contre les maux de conscience comme la jalousie, la cupidité, l’avarice, la calomnie, les injustices d’où qu’elles proviennent, le mensonge, l’hypocrisie, l’escroquerie, la ségrégation raciale, les vices dans tous leurs états.

 

Par conséquent, s’atteler à élaborer une panoplie de textes et de règlements de base de l’Institution de Sidi Cheikh Abdelkader ben Mohammed et de tous les enfants d’Abou Bakr Assaddiq, ne devrait certainement pas se limiter à poser des articles et/ou des paragraphes précisant la marche et la démarche à suivre auxquelles les adhérents et les membres du bureau gestionnaire seraient appelés à se conformer implicitement et explicitement.

 

Les textes, les lois, les faits de conditionnalité sont amplement développés dans les documents officiels  de  Nov.1958, et le projet conçu et élaboré par vos soins en est méritoirement significatif et témoin.

 

Ce que je pourrais suggérer, en revanche, pour étayer votre travail  particulièrement laborieux sur le projet de la dite Institution ne consiste guère à proposer des solutions aux signes parlants du silence étonnant de la grande majorité des personnes que j’ai rencontrées le soir de l’inauguration du local permanent de l’Institution de Sidi Cheikh Abdelkader ben Mohammed, c’est que soit organisé officiellement, avec toutes les règles de l’art, une plénière, genre de congrès auquel assisterait le maximum possible d’Ouleds Sidi Cheik que les organisateurs réussiraient à contacter et à convier.

 

Car j’estime qu’il est grand temps de mettre la barre tout haut en vue de :

-         Discuter des visions et des représentations de chacun et de tous, au passé, au présent, au futur.

-         Echanger des points de vue sur l’ensemble des aspects de la future Institution de                          l’I. S.C.A.B.M.

-         Mettre en relief et aussi en exergue tous les traits spécifiques de la Tariqa Chikhiya

-         Opérationnaliser au maximum tous les aspects de la Tariqa Chikhiya

-         Cerner les voies et moyens aptes à garantir la sortie de la léthargie qui asphyxie  la liberté, la créativité, la responsabilité, dans toute la transparence requise : les erreurs ne seront plus permises.

 

-         Une, à deux journées, serait souhaitable.

-         Les organisateurs auraient toute latitude de gérer le temps alloué à la tenue du congrès de

la future I.S.C.A.B.M.

DE VIVE VOIX :Mohammed Essahlaoui

 

 

REACTIONS DE SSI MOHAMMED ESSAHLAOUI AU PROJET DE L’I.S.C.A.B.M.PROPOSE PAR SSI BELMAAMMAR

22 juillet 2013

REACTIONS DE SSI MOHAMMED ESSAHLAOUI AU PROJET DE L’I.S.C.A.B.M.                                  PROPOSE PAR SSI BELMAAMMAR

 

        Comme on le sait partout dans toute l’étendue du Grand Maghreb, la notion de confréries ne date pas d’aujourd’hui ; tel est le cas dela Zaouïadu Marabout Saint de Sidi Cheikh Abdelkader ben Mohammed qu’Allah couvre de Sa Sainte Miséricorde.

 

Toutefois, il s’avère scrupuleusement indispensable de rappeler, ne serait-ce que brièvement, que Sidi Abdelkader ben Mohammed, descendant des Alboubakriynes,  Ouleds Sidna Abou Bakr  Assaddiq qu’Allah le Tout Puissant bénisse ainsi que l’ensemble des Compagnons du Saint Prophète Sidna Mohammed quela Prièreet le Salut d’Allah soient éternellement sur eux tous.

 

Ce n’est certes pas un simple hasard si Sidi Abdelkader ben Mohammed, descendant de la famille des Alboubakriyines, prit l’un des flambeaux éclairant la voie des musulmans dans cette région, pour la sauvegarde,  la protection et la préservation dela SunnaNabaouiyaAcharifa, d’autant  que les guerres contre l’occupation étrangère faisait rage en Afrique du Nord et dans la région du Sahel.

 

C’est donc une position des plus légitimes que de poursuivre l’entreprise, sur le sentier honorable de ses ancêtres, à savoir se conformer àla Sunnadu Prophète dans l’ensemble  des actes menés quotidiennement par les croyants profondément, intelligemment, lucidement, convaincus du bien fondé dela SunnaNabaouiyaincarnée par le Prophète Sidna Mohammed quela Prièreet le Salut d’Allah soient sur lui, ainsi que sur tous ses Compagnons.

 

La création dela Zaouïafut un évènement grandiose, par un des principaux pionniers qui se sont lancés sur la voie dela SunnaNabaouiya Almajida, qui n’est autre que Cheikh Abdelkader Ben Mohammed, afin de  combattre l’injustice, l’usurpation des droits élémentaires de l’être humain, en contribuant au développement et à  l‘émancipation de  ses  caractéristiques physiologiques, morales, intellectuelles, cultuelles, culturelles, spirituelles.

 

La TariqaAlboubakriya, que l’on pourrait appeler en termes scientifiques modernes l’opérationnalisation de certains préceptes islamiques jugés parfois trop abstraits pour le commun des croyants, qui pourraient courir  le risque des confusions, des tentations, des mauvaises interprétations, surtout du fait que ces dernières devenaient souvent  synonymes de interprétations susceptibles de semer de la zizanie entre les populations manipulées par des agents occultes, appartenant ou de mèche avec le girond de l’occupation étrangère.

 

Pour ce faire, il fallait créer un local permanent, des repères interchangeables, s’organiser et distribuer des tâches et des rôles :

-Aider, secourir, héberger, nourrir des sans foyers, des personnes en désuétude dans les déserts. Les fonds et les moyens provenaient de dons offerts par des tribus, animées spontanément de bénévolat et de sacrifice.

 

 -Enseigner le Coran Saint, les Hadiths, les procédés d’ablution avant la prière, l’abstinence pendant le mois du Ramadan, les techniques de concentration, de méditation, de communion et de communication avec Dieu en conformité avec les principes dela SunnaNabaouiyaAcharifa, les objectifs et les règles dela Zakat, un  des piliers fondamentaux de la croyance, initiateur à l’esprit de solidarité entre tous les êtres humains.

 

  -Enseigner les sciences et leurs différentes composantes, dont les mathématiques, la physique, la chimie, la vie et la terre, l’étude de la littérature, l’analyse des discours oraux et écrits et les arts du convaincre, la poésie, la pensée, la philosophie, la médecine expérimentale, l’histoire et la géographie, etc.

 

   -Enseigner le Jihad dans ses configurations introspectives et la lutte personnelle acharnée contre les maux de conscience comme la jalousie, la cupidité, l’avarice, la calomnie, les injustices d’où qu’elles proviennent, le mensonge, l’hypocrisie, l’escroquerie, la ségrégation raciale, les vices dans tous leurs états.

 

Par conséquent, s’atteler à élaborer une panoplie de textes et de règlements de base de l’Institution de Sidi Cheikh Abdelkader ben Mohammed et de tous les enfants d’Abou Bakr Assaddiq, ne devrait certainement pas se limiter à poser des articles et/ou des paragraphes précisant la marche et la démarche à suivre auxquelles les adhérents et les membres du bureau gestionnaire seraient appelés à se conformer implicitement et explicitement.

 

Les textes, les lois, les faits de conditionnalité sont amplement développés dans les documents officiels  de  Nov.1958, et le projet conçu et élaboré par vos soins en est méritoirement significatif et témoin.

 

Ce que je pourrais suggérer, en revanche, pour étayer votre travail  particulièrement laborieux sur le projet de la dite Institution ne consiste guère à proposer des solutions aux signes parlants du silence étonnant de la grande majorité des personnes que j’ai rencontrées le soir de l’inauguration du local permanent de l’Institution de Sidi Cheikh Abdelkader ben Mohammed, c’est que soit organisé officiellement, avec toutes les règles de l’art, une plénière, genre de congrès auquel assisterait le maximum possible d’Ouleds Sidi Cheik que les organisateurs réussiraient à contacter et à convier.

 

Car j’estime qu’il est grand temps de mettre la barre tout haut en vue de :

-         Discuter des visions et des représentations de chacun et de tous, au passé, au présent, au futur.

-         Echanger des points de vue sur l’ensemble des aspects de la future Institution de                          l’I. S.C.A.B.M.

-         Mettre en relief et aussi en exergue tous les traits spécifiques dela TariqaChikhiya

-         Opérationnaliser au maximum tous les aspects dela TariqaChikhiya

-         Cerner les voies et moyens aptes à garantir la sortie de la léthargie qui asphyxie  la liberté, la créativité, la responsabilité, dans toute la transparence requise : les erreurs ne seront plus permises.

 

-         Une, à deux journées, serait souhaitable.

-         Les organisateurs auraient toute latitude de gérer le temps alloué à la tenue du congrès de

la future I.S.C.A.B.M.

DE VIVE VOIX :Mohammed Essahlaoui

 

FAUDRAIT-IL S’ENTETER A ERADIQUER MATERIELLEMENT« LE DROIT A LA TRICHE ? »

15 juillet 2013

FAUDRAIT-IL S’ENTETER A ERADIQUER MATERIELLMENT « LE DROIT A LA TRICHE ? »

 

     La réflexion que j’ai l’intention de mener aujourd’hui, en tant qu’enseignant retraité ayant vécu de dures, mais aussi d’agréables expériences  directement ou indirectement, de multiples actes de l’intégralité du processus d’enseignement / apprentissage, se propose d’approcher le phénomène de la triche aux examens et concours loin des sentiers battus et des contingents de ressources humaines, armées  de moyens psychologiques et logistiques des plus performants dont le va-t-en guerre se veut fermement décidé à neutraliser, une fois pour toutes, les supposés fauteurs de troubles affectant l’ordre public, qui sont avant tout et après tout les publics d’élèves et candidats sans lesquels l’on ne saurait justifier le branle-bas de combat aux moyens, devrait-on le souligner, abusivement disproportionnés.

 

De prime abord, n’hésitons pas un instant à fustiger une telle approche qui consiste à combattre le mal par des armes du mal, entendons par- là, les profondes cicatrices qui vont s’éterniser au fin fond de petits êtres innocents qui se lancent dans une aventure faisant strictement les affaires des adultes, rompus à des combats déloyaux, lors d’une guerre injuste, illégale, et illégitime, dans un champ qui n’a absolument rien à avoir avec les confrontations et les affrontements entre  des esprits et des intelligences, signe de maturité et de civilité accrues.

 

Car, jamais on n’a enseigné aux apprenants le sens  et la gravité de ce que les adultes appellent, peut-être même avec une sauce vindicative étant passés aussi par un itinéraire identique, la tricherie ou plus exactement la triche préméditée.

 

Au fait, la lutte forcenée et effrénée s’engage sans pitié entre de jeunes adolescents et toute la société, à la fin de chaque cursus ou au début pour les recrutements. Mais il est regrettable et fort dommageable d’oublier que le phénomène de la triche fait partie depuis  belle lurette de la panoplie de faits culturels garnissant diversement le paysage social dans la quasi-totalité des domaines.

 

Posons tout simplement cette question justement embarrassante : la triche, chez les jeunes adolescents, est-elle une  simple habitude ou plutôt un véritable comportement ? Sans prétendre me lancer dans les méandres d’une analyse un tant soit peu épistémologique, il importe de signaler  le côté mise en place d’automatismes qui  font faire des émules, en ce qui concerne l’installation des habitudes,

 

Alors que lorsqu’il s’agit de comportements, le sujet agit consciemment, en fonction de finalités et d’objectifs soigneusement arrêtés ; puis tout en s’exerçant au moyen de contrôles et de mini-évaluations, il parvient coûte que coûte à exceller dans la besogne.

 

Et c’est  bien dans ce cadre, en l’occurrence celui du comportement qu’il convient de situer le devenir de la triche. En d’autres termes, le tricheur agit consciemment, avec des intentions préméditées, cherchant à  évoluer, à progresser, et en fin de compte à réussir.

 

Si les habitudes accèdent au stade de l’installation manu automatique, les comportements avant- pendant-après sont appelés à changer comme étant des droits à la fois naturels et conquis plus qu’acquis.

 

Dès lors que le sujet est convaincu de la nécessité de  tricher, pour des raisons de comportements justifiables et copieusement justifiés , tricher, devient synonyme de conquérir un droit d’agir, au nom  du principe même de l’égalisation des chances, et le combat vain des institutions pour lutter contre la triche redevient légalement un ensemble d’actes illégitimes face aux grands principes fondamentaux de la démocratie : aux yeux du tricheur se basant sur des comportements conquis et acquis, la triche s’avère le seul et unique moyen garantissant le droit à la réussite pour se prouver et prouver aux autres, que son devoir ultime consiste à imposer son droit de forcer le destin de l’égalité des chances, ; principe souvent galvaudé par l’institution, socialement  et déontologiquement condamnable de causes à effets, aux yeux de l’élève/ candidat tricheur./.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

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