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Archive pour novembre 2010

LA FORMATION DES ENSEIGNANTS EN PERTE DE VISIBILITE

Mardi 30 novembre 2010

                        LA FORMATION DES ENSEIGNANTS EN PERTE DE VISIBILITE

                          ET DE MOYENS APPROPRIES… !     La formation des ressources humaines (F.R.H.) est devenue, au fil des années, un des domaines les plus convoités et les plus courtisés dans toutes les sociétés qui connaissent un développement durable et confirmé. 

    De grandes entreprises internationales se sont spécialisées, dans  des formations dites pointues, ciblées, pour accompagner le bond spectaculaire  des industries d’automobiles, en vogue. 

    C’est aussi le cas, entre autres,  des industries aéronautiques de guerres comme de paix qui exigent des spécialisations ‘atomisées’, de dernier cri…etc. 

    Désormais,  ce ne sont plus les nouvelles créations qui permettent, aux superpuissances, de remporter des batailles militaires ou diplomatiques, mais plutôt les R.H.qui les manient, surtout comme moyens extrêmement efficaces de dissuasion, aux effets psychologiques hyper hypnotisant, hyper dépersonnalisant. 

     Force est de constater cependant, que les hauts responsables du domaine de  l’éducation, en Afrique plus particulièrement, s’obstinent à accorder une importance quasiment paranoïaque aux nouveautés matérielles, au détriment de la formation de ‘persuasion’ professionnelle et pédagogique des R.H. ! 

          On persiste à croire et à faire croire, qu’il suffirait de doter les établissements scolaires de matériels sophistiqués, importés d’ailleurs, pour dé diaboliser la fatalité qui semble s’acharner sur le niveau des étudiants : un niveau qui, paraît–il arrangerait confortablement les affaires de certains spéculateurs appartenant, de surcroît, au milieu socio-éducatif, dans de nombreux pays ‘durablement  sous développés ‘. 

   Il n’y aurait pas lieu ni de se voiler la face, ni de tergiverser…La règle d’or que privilégient tous les chercheurs spécialisés dans le domaine de l’éducation, de tous les siècles, est la mise en chantiers d’une politique de formations des R.H. 

    Une telle politique serait susceptible de donner à l’éducation des générations un sens, celui du développement durable  de l’être humain, un développement universaliste, respectant la personnalité, les droits  de la personnalité humaine de l’étudiant, et mettant en exergue ses devoirs de citoyen capable de jouer fièrement et lucidement son rôle multidimensionnel, dans la société. 

   La formation des enseignants ne devrait jamais être le parent pauvre d’un système éducatif qui se veut dynamique, créatif, cohérent, responsable.  Il devrait s’agir de formations au pluriel, sur les plans de la forme et du contenu. 

   Il serait vivement recommandé de multiplier, autant que faire se peut, des canevas de formations, rigoureusement ciblés, au bénéfice de publics spécifiquement constitués.     Les formations, devraient, si cela s’avère nécessaire, être prescrites  dans les tableaux de service des publics concernés. 

     Loin de revêtir un quelconque caractère coercitif, les formations seraient ainsi fort appréciées, souhaitées et même, demandées. C’est le droit légitime de tout enseignant. /. 

 DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI                                                                                                                                                                                                                                       

                       

DESTINE AUX FEMMES… !

Lundi 29 novembre 2010

                                   DESTINE AUX FEMMES… !   N’attendez pas, Mme ! N’attendez plus, Mme ! Ne perdez plus votre temps à hésiter, à vous poser des questions du genre : et si, moi aussi, j’étais atteinte de cette maladie  qu’on appelle le cancer du sein ? Serait- il possible, imaginable, probable, que j’aie un cancer du sein ? 

  C’est ainsi qu’une angoisse indescriptible commença brutalement à s’installer, à occuper la vie de la belle dame, et que des idées noires se fixèrent; elle eut beau essayer de les chasser, de les effacer, de s’ en débarrasser, ses idées noires se nourrissaient discrètement et douloureusement d’un imaginaire débridé, mais avec une persistance macabre, avec une insistance qui se plaisait méchamment à faire souffrir âme et corps de la jeune dame, à la taille élancée et svelte, aux yeux tentant, en vain, de cacher un regard abattu, cherchant un néant d’espoir, d’une douleur qu’elle souhaitait  tant  partager, avec des êtres les plus intimes, les plus chers, les plus proches. 

    Un matin d’un hiver glacial, alors que Siham écoutait une émission de radio, son attention auditive fut subitement attirée par une voix, fatiguée, envahie par un désarroi si fort que la jeune femme   s’écroula, des larmes chaudes ruisselant de ses yeux,  des yeux qui en disaient long, telle une petite gazelle qui supplierait son prédateur de lui laisser la vie sauve. 

    Mon Dieu ! s’écria – t – elle, je ne comprends plus ce qui me prend. Serais-je folle ? Serais-je sous le coup d’une violente dépression nerveuse ?  Non ! Je  ne souffre de rien ! Je ne suis pas malade, de quoique ce soit, ajouta-t-elle comme pour se rassurer, se réconforter, se mettre en confiance. 

     A ce moment-là, elle entendit Naima Samih, la grande chanteuse marocaine, fredonner son air de prédilection : «  oh ! Ma blessure » : Naima Samih souffrante, mais refusant de se résigner,  se jurant de ne jamais renoncer à cette vie offerte par Le Tout Puissant, le Seul Créateur, l’Unique Guérisseur des âmes, des esprits et des corps. 

    Soudain, un miracle se produisit : elle réalisa que
La Science et le Coran avaient toujours affirmé les mêmes valeurs : face à un malheur, un croyant devrait chercher les voies et moyens susceptibles de s’en préserver, il en est de même pour des maladies : Dieu créa des maladies et créa des médicaments pour les traiter. 

    Ayant toujours gardé son dynamisme d’étudiante qu’elle fut, Mme Siham se reprit et se ressaisit tout à coup, s’extirpant d’une torpeur quasiment hypnotisante, paralysante : 

Mais, bien sûr !!! C’est ce que j’aurais dû faire depuis longtemps. !!!Que je suis idiote !!! 

    Elle savait scientifiquement, moralement, spirituellement, culturellement, que la prévention vaudrait mieux que mille traitements. 

     A partir de cet instant – là, elle décida de se rendre chez le médecin le plus proche pour un dépistage de cancer du sein, et ce pour deux raisons fondamentales : 1/Dans le cas où le dépistage se serait avéré positif, elle n’aurait pas perdu de temps pour le faire traiter à temps. 

2/Dans le cas où le dépistage se serait révélé négatif, Mme Siham se serait libérée de ses   angoisses malencontreusement néfastes pour sa santé, sa sérénité, morales et physiques. /.   DE VIVE VOIX : Mohammed  ESSAHLAOUI 

          

LES FONDEMENTS DE LA POLITIQUE ETRANGERE DU MAROC.

Jeudi 25 novembre 2010

                       LES FONDEMENTS DELA POLITIQUE ETRANGERE 

                                                         DU  MAROC    Les récents événements qui ont secoué la ville d’Elayoun, n’auront été que l’arbre qui cache la forêt du voisinage inconstant hispano-marocain. Ils ont démontré, preuves à l’appui, la précarité et l’imprévisibilité du voisin du nord. 

   Le Maroc, qui s’attendait à des prises de positions tranchées de la part du gouvernement socialiste de Madrid, s’est trouvé incrusté dans un ballotage d’opportunisme pré-électoral, mettant aux prises  le P.P.E et  le P.S.E. 

      Ainsi, au lieu de tout faire pour ne pas tomber dans l’indésirable, le département des affaires étrangères marocaines, s’est maladroitement jeté dans un gouffre obscur et profond où foisonnent des populations de vipères impitoyables, rompues particulièrement aux morsures traîtresses et fatales. ! 

    La réalité toute crue, la vérité toute amère, nous semble-t- il, est à découvrir du côté de M. Affaires Etrangères qui manque lamentablement de vision, de stratégie, de tactiques, de démarches, de procédés, de procédures, qui agit en voyageant et qui voyage en agissant. ! 

      Il fait preuve d’une déficience politico-intellectuelle inadmissible pour le département, si sensible, qu’il dirige : un département où il n’y aurait pas de place pour des dormeurs, des somnolents, des sournois confirmés. 

      Les Affaires Etrangères ne requièrent plus des randonnées de plaisance, mais elles exigent plutôt des chevauchées impressionnantes, du point de vue du contenu, glaciales et discrètes du  côté de la forme. 

    En ce sens, le ou les locataires du siège imposant des A .E.M. devraient, avant et surtout bénéficier d’une vaste et remarquable panoplie de compétences communicatives, adaptables à toutes les situations prévisibles et imprévisibles. 

    Comment, ne comprennent-ils pas que les pays dits amis, pensent et agissent en termes d’intérêts, et s’ils font semblant de soutenir les causes marocaines, il va de soi qu’ils ne le font pas gratuitement, ni bénévolement. Ils ne sont pas disposés à faire le moindre cadeau dans de telles affaires. 

    La politique étrangère du Maroc est gérée au fur et à mesure que surgit un différend jusque là ignoré ou oublié. Ce sont les cas du Sahara, de Ceuta et Mellila, de la position marocaine au sujet de
la Palestine, et au sujet des différents foyers de tension de par le monde. 

   Le Maroc n’a pas sa propre politique étrangère, désormais il a tendance à compter sur des amis, il se dérobe…On dirait que sa politique étrangère dépend entièrement de l’extérieur. ! ./. 

DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI                                                                           

      

MAROC, ALGERIE : DEUX PAYS FRERES POUR TOUJOURS

Mardi 16 novembre 2010

                      MAROC, ALGERIE : DEUX PAYS FRERES POUR TOUJOURS                                                                   MALGRE TOUT… ! 

  Tout d’abord, à l’occasion de la fête de Aïd Al Adha,grandissime symbole de sacrifice,  de piété, de tolérance exemplaire, avec toute l’humilité requise devant Allah Le Tout Puissant Créateur, je voudrais, en tant que citoyen marocain et maghrébin, prendre une initiative personnelle d’adresser, aux deux peuples frères du Royaume Chérifien du Maroc, et  de
La République Algérienne Démocratique et Populaire, les meilleurs vœux de bonheur.de succès et de prospérité, en priant Le Tout Puissant de les préserver, de les aider, de les combler de Ses Nombreux et Consistants Bienfaits, dont la paix, l’entente, la compréhension et le respect mutuels, dans un climat de sérénité, de quiétude, et de stabilité, tant souhaité par l’ensemble des populations du Grand Maghreb. 

  Je pars du principe, qu’autant l’acte de s’exprimer se veut significatif, même s’il ne peut pas représenter grand-chose, autant l’acte de se taire, surtout s’il était prémédité, serait susceptible de représenter, à lui seul, un danger de mort pour la conscience humaine. 

   A tous les niveaux de responsabilités, le silence ne peut être que méprisable, à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un silence comploteur, de connivence, de manigance politicienne. 

   Ni la guerre des sables en 1963, ni les différentes crises que les relations algéro-marocaines avaient connues depuis cette date jusqu’à nos jours, n’ont réussi à ternir ni à menacer le voisinage, la stabilité régionale, comme les événements des ces derniers jours.                                                                                                                               

  Désormais tout est possible, et rien n’est impossible : un conflit armé dévastateur, généralisé, ou une paix des braves totale et durable. Tous ces bruits de bottes angoissants, et rien ne parvient à briser le silence de la muette légendaire qu’est l’Organisation de la ligue arabe, ni celui de bien d’autres. 

   Pire encore, les deux pays/états frères, se font chaque fois piéger par des interventions directes ou indirectes de fauteurs de troubles relationnels entre, nous le répétons, nous le soulignons avec toutes nos forces, deux pays/états frères, amis, compagnons, voisins, complémentaires l’un l’autre.                    

   Ni l’Express Transmaghrébin, ni l’Union Pour
la Méditerranée, ni le développement du continent africain, ni les problèmes du moyen orient, ni les foyers de tensions internationales, pour ne citer que ces exemples saillants, rien ne sera résolu de la façon optimale souhaitée, sans la participation, sans la contribution commune du Maroc et de l’Algérie. ! 

   Nous implorons Dieu, nous prions S. M. Le Roi Mohamed VI et S..E. Le Président Bouteflika de prendre en compte, quoiqu’il arrive,  les droits et devoirs du voisinage, de l’héritage de l’Histoire commune, du patrimoine  socioculturel et religieux commun, d’un avenir commun, d’un destin commun.   Les relations maroco-algériennes payent actuellement ce qu’elles ont subi et continuent à subir comme pressions, interventions, machinations, instrumentalisations, extérieures de tous ordres et de tous bords./.                                                                                         

         DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI 

LETTRE OUVERTE D’UN CITOYEN MAGHREBIN…

Lundi 15 novembre 2010

                     LETTRE OUVERTE D’UN CITOYEN MAGHREBIN 

                                                                                      M.LE SECRETAIRE GENERAL DE L”U.M.A.                                                                                                                                                                                                  

       Après de longues et pénibles années d’attente de tous les peuples de la région, le train du Maghreb n’a toujours pas sifflé ses premiers coups solennels de départ. Panne mécanique des machines ? Ratés fréquents des moteurs ? Matériels périmés , défectueux ? Ou plutôt  cela  serait dû à l’état  lamentable ,  précaire , des lignes de chemin de fer ?

Dans tous les cas, tout nous  autorise à croire que le départ de L’Express Transmaghrébin, n’aura pas lieu ni aujourd’hui, ni dans un futur proche, hélas. !

       A ce sujet, permettez – moi, M. Le Secrétaire Général, ère de démocratie transparente oblige, de vous faire part de ma profonde préoccupation, de ma vive inquiétude, et par voie de conséquence, de mon indescriptible déception. Je ressens, au fond de moi, un goût d’amertume insupportable, accompagné démesurément d’une envie terrifiante de rejeter de mon cœur meurtri de blessures , ce qui me reste d’amour, d’affection, de respect, pour  l’histoire de cette Afrique du nord, que tout le monde autour d’un plat de couscous,                                                   d’un méchoui, d’un feu de cendres, n’a jamais  cessé d’immortaliser inconditionnellement.

        Ma douleur aurait été moins accablante, si vous  aviez tenté ,une fois, de déclarer que le train maghrébin «  peut-être  » ne partirait pas tant que de  grandes puissances étrangères gardent leur main mise sur le passé, le présent, le futur, socio-économico- politiques, sur le destin des pays dits anciennement colonisés.

        Combien furent grandes ma stupéfaction, ma consternation, ma colère enfin, lorsque vous annonciez à maintes occasions, que les états du Maghreb feraient bien de réaliser leur union pour mieux relever les défis  de tous genres qui entravent leur développement ! Vous parlez comme si ces états tiennent effectivement leurs destins entre leurs mains, et qu’il leur est aisé de décider librement du devenir, de l’avenir de leurs populations  et de la région toute entière.

          Vous semblez ; par ailleurs oublier ou ignorer, ou  minimiser leurs profondes divergences de points de vue, sur l’ensemble des conflits et des problèmes  internationaux. Ce n’est un secret pour personne, si l’on énumère les différences d’appréciation ,de prises .de positions souvent diamétralement opposées : la  situation au moyen orient, en Irak, en Afghanistan., la tension grandissante entre l’Iran et l’occident…etc.

Il en est de même pour ce qui est des points chauds ,ou de ceux qui seraient en train de le devenir en Afrique : la situation aux 3 S à savoir
la Somalie, le Sahel, le Sahara, par exemple.

De surcroît, M..Le Secrétaire Général, et comme  un malheur n’arrive jamais seul, les états du Maghreb subissent frontalement, de par leur situation géographique, les conséquences humaines et économiques de l’émigration clandestine  pour une destination inconnue de l’autre côté de la méditerranée. Mais la liste des catastrophes  diverses, ne pèse en rien ,face à des égoismes chroniques qui ne s’arrêtent point de se développer.

          Grandes, enfin, sont les émotions des populations, qui ne comprennent rien en quoi le projet  de l’U.P.M. les intéresserait directement ou indirectement. Ce qui n’est pas le cas, semble-t-il, ni des Commandants du Maghreb , ni de vos instances, qui rêvent plutôt, en attendant le train Godo, d’un chalutier toujours prêt à lharga vers l’autre rive. Le prétexte du Sahara tant évoqué pour être invoqué, comme vous  le savez, M. Le S.G. de l’U.M.A ,est trop facile à avancer. Je vous suggère alors, si vous me le permettez, au nom des valeurs universelles que nous partageons, de chercher ailleurs, bien ailleurs. !

           Veuillez accepter M. l’expression sincère de mon profond respect./.

  DE VIVE VOIX : Mohammed  ESSAHLAOUI

  

TOUTES ET TOUS POUR LE GRAND MAGHREB.!

Dimanche 14 novembre 2010

               BIENVENUE SUR LE BLOG : POUR LE GRAND MAGHREB…

 Cher(e)s compagnons internautes.Cher(e)s concitoyens du Grand Maghreb : ceci est un blog qui se veut Maghrébin, si vous y êtes intéressés,

pour l’utiliser comme espace d’échanges de points de vue, de réflexions, d’expériences diverses.

De longues décennies se sont écoulées, sans que les conducteurs du train maghrébin  daignent donner le signal de délivrance, tant souhaitée et tant attendue.par toutes les populations de ce magnifique ensemble de l’Afrique du Nord.

Sans plus attendre,rien ne nous empêche,toutes et tous, de communiquer entre nous,par tous les moyens technologiques  légaux , disponibles.

En prenant une telle initiative, je suis profondément convaincu que nous n’avons pas, ni plus, le droit à l’inertie, à l’indifférence, à l’insouciance.

Les concitoyennes et les concitoyens du Grand Maghreb, ont beaucoup de choses à se dire, à se raconter… .

Après tout, nous avons toutes et tous besoin les uns des autres.Dans la vie,personne ne saurait/ne pourrait se passer des amis, des camarades,des frères,des soeurs, des voisins,des collègues,des confrères….

Les contacts intra, inter, extra, maghrébins sont toujours enrichissants.

A l’occasion de l’Aid Al Adha,meilleurs voeux de santé,de bonheur,de succès, de prospérité,avec La Grâce d’ALLAH Le Tout Puissant,wa Rahma wa Lghoufrane ./.

DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI