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Archive pour décembre 2010

POLITIQUE : POUR LA LIBERTE DE L’OPINION PERSONNELLE. ..!

Jeudi 30 décembre 2010

 POLITIQUE : POUR LA LIBERTE DE L’OPINION PERSONNELLE. ..!   Dans le domaine spirituel, on parle souvent de croyants pratiquants ou de croyants non pratiquants. 

  La religion, comme on le sait, est un ensemble de pratiques,  d’actions, de devoirs que, l’Homme sur terre est appelé à remplir en tant que croyant pratiquant, selon un rite, un rythme, une fréquence, bien déterminés. En sa qualité de créature divine, l’Homme se doit d’entretenir de bonnes relations avec les autres créatures, évitant tout comportement offensant, blessant, insultant, par le gestuel, l’expression  physique, ou la parole. 

En ce sens, la re- li –gion est donc un ensemble de moyens, de comportements, qui seraient de nature à permettre à l’Homme d’être constamment en contact avec Son Créateur Dieu Le Tout Puissant : d’où les notions de liens, de relations, de communion. 

Mais il arrive de temps à autre que des croyants expriment des opinions personnelles, individuelles, sur des modalités de certaines pratiques religieuses, comme cela fut le cas des « protestants ». La réaction de l’église ne s’est pas fait attendre : un croyant qui exprime une opinion personnelle, individuelle, sur la religion, sème  et provoque une certaine zizanie dans les esprits des croyants, chose par conséquent inadmissible, dans la mesure où elle porte atteinte au consensus des croyants : un tel acte fut taxé d’hérétique. D’où la définition : «  un hérétique est celui qui exprime des opinions personnelles, individuelles. »  Force est de constater, cependant, que cette acception est désormais  couramment adoptée dans le domaine politique, par des partis qui n’admettent nullement, parmi leurs adhérents, «  des hérétiques, des brebis galeuses, des membres qui propagent des opinions personnelles, individuelles, dangereuses pour l’unité, et la cohésion du parti politique en question. » En politique, comment expliquer un tel phénomène de «  politique d’exclusion, de marginalisation, d’intolérance, de tout ce qui est différent. ?! » Qu’est ce que le consensus politique, si ce n’est la dictature de ce qui s’appelle la majorité « écrasante » ?!!  Qu’est-ce-que ce système prétendument démocratique, qui s’est juré de ne pas reconnaître la liberté d’expression de l’opinion personnelle ? ! Serions-nous à l’ère de la « religionalisation »des partis politiques ?!!!./. DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI 

LE RËVE D’UN PEUPLE…!

Mercredi 29 décembre 2010

Mohamed Essahlaoui

De :

Mohamed Essahlaoui

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                                    LE RÊVE D’UN PEUPLE…!

    Depuis son indépendance, Le Maroc se bat et combat pour se prouver, avant de le prouver aux autres, qu’il est capable et en mesure de gérer librement ses affaires intérieures et extérieures, dans une harmonie optimale entre ses différentes composantes sociales, économiques, politiques, culturelles, linguistiques, et spirituelles, entre autres….qui font sa grandeur et sa richesse intarissable.

 Grâce à sa position géographique, et à son histoire, il a toujours aspiré à accéder au rang d’une puissance pacifique régionale respectée par tous les états du monde.

Aujourd’hui, il lutte sur plusieurs fronts pour réaliser le rêve le plus réaliste et le plus pragmatique, qu’il n’ait jamais fait, en l’occurrence : son autosuffisance générale.

De nombreux chantiers de développement accéléré et durable foisonnent partout dans le pays, avec une priorité largement justifiée, accordée au social.

L’expérience de l’I.N.D.H.a prouvé, dans une mesure louable, sa pertinence, son adaptabilité, son bien fondé, en permettant la réalisation de l’une de ses finalités essentielles : l’initiation descitoyennes et des citoyens à se prendre en charge,avec engagement et lucidité, individuellement et collectivement.

Toutefois, une expérience aussi ambitieuse gagnerait, de notre point de vue, à être évaluée plus rigoureusement et scientifiquement.

Si  au niveau des intentions concrétisées, des objectifs réalisés, du nombre de familles mobilisées et engagées, l’expérience de l’I.N.D.H.mérite, sans conteste, d’être citée comme exemple de succès, au niveau des approches et des moyens,une réflexion sur le fond s’imposerait pour lui garantir sa pérennité,son efficacité, tant souhaitées :

1/Dans quelle mesure le secteur privé aurait-il contribué à huiler la machine de l’I.N.D.H.? En fonction de la réponse à une telle question, il serait possible d’évaluer, d’apprécier, d’estimer, la pertinence du critère de solidarité nationale .

Car toute la philosophie de cette expérience de développement humain repose sur celle d’une initiative qui se veut nationale , ne l’oublions surtout pas!

2/Dans quelle mesure, l’expérience ambitieuse nationale, aurait-elle respecté le critère de la marocanité des crédits pour le financement des différentes opérations d’accompagnement des bénéficiaires de projets sociétaux de développement humain?

Car il s’agit d’initiative nationale libre et indépendante, prise par une nation libre et indépendante, ne l’oublions surtout pas !

L’I.N.D.H.aura été une expérience fort prometteuse, dans la mesure où elle a permis/et permettra l’encouragement du travail tant individuel que collectif.

Elle a contribué/et contribuera à enclencher une dynamique libératrice des initiatives, de toutes les initiatives, des citoyennes et des citoyens qui depuis l’indépendance du Maroc, rêvent d’une nation égalitaire, d’une société solidaire, démocratique, au service d’un peuple qui ambitionne d’avoir la chance de prouver la grandeur de ses initiatives créatrices et novatrices à tous les niveaux, sur tous les plans./.

DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI

RENDEZ LEUR TERRE AUX PALESTINIENS…!

Mardi 28 décembre 2010

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Mohamed Essahlaoui

De : Voir le contact

                RENDEZ LEUR TERRE AUX PALESTINIENS…!

    Comme cela parait curieux de remarquer qu’Israêl défende la thèse de la victime, en l’occurrence, d’une certaine incompréhension regrettable des peuples musulmans qui ne veulent pas du tout admettre qu’Israeêl désormais un état légitime, indépendant, souverain, soit créé en plein centre du moyen orient, avec Elqods comme capitale spirituelle promise .!

De telles affabulations monstrueuses ne pourraient jamais convaincre ni ses amis, ni ses ennemis. En 1948, date de création de l’état d’Israêl sur la terre de Palestine,

une grande personnalité politique avait confié à ses proches collaborateurs, la déclaration suivante : « comment voulez-vous que les Palestiniens reconnaissent un jour notre état, qui se trouve sur les terres que nous leur avions volées? Si, nous étions à leur place, nous l’aurions jamais accepté.! »

En effet, c’est la réalité, l’horrible réalité.! Israêl occupe la terre de Palestine depuis 1948 avec l’aide, le soutien, la couverture, des grandes puissances, et la complicité et la trahison de certains dirigeants du  » monde arabe « .

La thèse de la victimisation ne saurait ni ne pourrait être défendable quoi que le

sionisme internationale fasse, quoi que les amis, les lobbies, les traîtres, les fabulateurs mercenaires, fassent : jamais la conscience sioniste ne (re)trouvera la tranquillité, la sérénité.

Jamais, Dieu le Tout Puissant n’accordera Son Pardon aux principaux auteurs de ce crime odieux,ignoble, perpétré contre l’humanité.

Jamais, le pauvre peuple Palestinien, le monde musulman, les peuples épris de liberté,de justice, de démocratie,ne pardonneront aux sionistes leurs crimes abominables à l’encontre des petits enfants, des femmes, des vieilles et vieux Palestiniens qui errent, blessés, agressés,moralement,physiquement,sans pitié,abandonnés, trahis,par la conscience internationale.

Ce sont celles-là, ce sont ceux-là les vraies et les véritables victimes du sionisme du monde, soit disant moderne,démocratique,équitable.!

Nul besoin, nulle tentative, de s’ingénier à duper, à tromper l’opinion internationale en laissant libre court à une propagande haineuse, rancunière. 

L’Islam est tolérant, il  a toujours recommandé de respecter les autres religions.

Ce qui ne saurait ni ne pourrait être tolérable, c’est l’acte de voler, de spolier, une terre appartenant à un autre peuple.Lors de la 2ème guerre mondiale de 1939/1945, la quasi totalité des peuples de la terre,avaient exprimé, avec une profonde sincérité, leur indignation, leur solidarité, avec tous les peuples opprimés, maltraités,pourchassés par des régimes de dictatures forcenées.

Comment expliquer et comprendre que le peuple juif, qui avait douloureusement et inhumainement souffert des injustices insensées,inadmissibles,inacceptables,indubitablement intolérables et condamnables, accepte que le sionisme internationale fasse souffrir le peuple palestinien de la manière la plus atroce que l’Histoire humaine n’ait jamais vue.!

Rendez leur terre aux Palestiniens! Car en les privant de leur terre, vous les privez de leurs origines: cela s’appelle le crime d’extermination préméditée./.

 DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI

ISRAEL SE PREPARERAIT-IL A ATTAQUER GHAZZA…?!

Lundi 27 décembre 2010

         ISRAEL SE PREPARERAIT-IL A ATTAQUER GHAZZA…?!  Selon des ministres du gouvernement Netanyahou, Israël serait sur le point d’attaquer la bande de Ghazza. Des opérations « préventives et chirurgicales » s’avèrent désormais urgentes et nécessaires. Et ce, pour des raisons de stratégies militaires et géopolitiques diverses. 

Bien que le porte parole du Hamas ne cesse d’affirmer et de confirmer l’ engagement de son mouvement à respecter la trêve avec Israël, ce dernier semble invoquer, à plusieurs reprises, des menaces «  dangereuses et réelles » que laissent planer, sur l’état hébreu, les récentes attaques répétées de mortiers, perpétrées, par des éléments de la branche armée du principal mouvement de        résistance palestinienne, basé à Ghazza. 

Israël, cette fois, veut jouer, au moins sur trois fronts essentiels : 

1/Le front de l’implication de l’Egypte à sa frontière avec la bande de Ghazza, qui connaît ces derniers jours, de nombreux travaux pour ériger d’imposantes fortifications rendant quasi impossible toute infiltration, humaine ou matérielle, dans les deux sens. Pour Israël, il n’y a pas meilleure aubaine, que celle  offerte généreusement par le président Moubarak. 

2/Le front de coordination et de cohésion entre le Hamas et les autres mouvements de résistance, qui commence à donner des signes de fissuration sérieuse, ne saurait laisser indifférente l’armée d’Israël, fraîchement dotée de matériels de guerre offensive, des plus sophistiqués. 

Grâce à ces deux avantages notoires, les soldats israéliens seraient plus motivés  psychologiquement, moralement, et militairement en vue disent – ils de finir le travail de nettoyage entamé lors de l’invasion précédente. 

3/Le front de Mahmoud ABBAS, chef de l’autorité palestinienne qui serait en train de gagner du terrain, depuis que de nombreux pays ont reconnu
La Palestine en tant qu’état indépendant. Cela permettrait au C.A.P.de reprendre des contacts avec Israël, pour obtenir un arrêt même temporaire des chantiers de colonisation, et d’entreprendre un dialogue, s’il le faut pour la forme, avec Ismail HANIE. Cela permettrait d’autre part, d’isoler davantage le Hamas, et d’intensifier la pression sur l’ensemble des mouvements de résistance palestinienne. 

   Ainsi, Israël aurait toute latitude de préparer ses frappes particulièrement ciblées et meurtrières, à partir des propres bases de son ennemi juré le Hamas par frères Palestiniens de Fatah et frères Egyptiens de Moubarak, interposés, et dans une indifférence traitresse du monde arabe. /.                                  DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI 

                                                                                                                                                            

SYSTEMES DEMOCRATIQUES FRAGILES… ? !

Dimanche 26 décembre 2010

                           SYSTEMES DEMOCRATIQUES FRAGILES… ? ! 

On assiste, ces derniers temps, à l’émergence d’un phénomène particulièrement ‘contagieux’, selon de grands politologues spécialisés dans l’évolution de jeunes états : la décision hâtive d’opter  pour « un processus de démocratisation irréversible. » 

En effet, ces décisions surprennent, tellement, les classes politiques et l’armée, qu’elles crient au scandale, et dénoncent un putsch diaboliquement déguisé en cadeau de Noël  envoyé du ciel, par le biais d’un messager divin, de haute confiance. 

  Quant aux grandes démocraties, elles gardent un silence hermétiquement diplomatique, sans commentaires, sous prétexte d’éviter toute ingérence dans les affaires intérieures des états souverains et, de surcroît, amis éprouvés. ! 

Dans les pays en voie de développement, les peuples, avec leur perspicace et clairvoyante sagesse, ont depuis fort longtemps compris et acquis que leurs dirigeants maîtrisent très bien les différents genres de putsch salvateurs, distracteurs, hypnotiseurs, galvaniseurs, et ainsi de suite, avant d’accéder eux-mêmes, à la haute magistrature. 

Toujours dans la même direction de réflexion, mais cette fois-ci concernant les chefs d’états sortants, qui refusent catégoriquement de passer les commandes du pays, aux chefs 

d’états entrants, encore frais émoulus. 

Comme cela est curieux de constater les divergences qui divisent les populations en partis de soutien de X, ou de Y ! Et comme cela est bizarre de remarquer des sursauts timides et feutrés de la communauté internationale qui, tout au plus, s’indigne, dénonce, fustige tel ou tel chef d’un même état au bord d’une malheureuse scission, qui n’attend qu’un signal d’ailleurs pour renverser la vapeur, de fonte en comble. ! 

Par conséquent, rien n’est moins sûr, tout se conjugue à un conditionnel appuyé volontairement d’un « peut-être » de tendance militaire, diplomatique, ou propagandiste, qui légitimeraient tous les aspirants au pouvoir.! 

Qu’est- ce que l’Union Africaine pourrait bien proposer comme solution à ces cas précis ? Qu’est- ce que toute la communauté internationale devrait faire dans pareils cas ? 

Lorsqu’un maillon du processus démocratique est touché, lorsque des états ne parviennent pas à sécuriser, à garantir, des élections, à n’importe quel niveau, lorsque des états peinent à convaincre au moyen d’arguments démocratiques appropriés, lorsque des états dominent leurs peuples par la force et la sécurité militaires, lorsque les Droits de l’Homme et les valeurs universelles  sont impunément bafoués… 

Lorsqu’enfin, il s’agit d’un système démocratique : décidé, imposé, proposé, offert, par un chef d’état qui porte son nom, cela reviendrait à affirmer et à confirmer la fragilité, la vulnérabilité, et donc la non-institutionnalité chronique de l’intégralité du système./. 

DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI 

LA LIBERATION DE LA FEMME : PARLONS-EN… !

Samedi 25 décembre 2010

           
LA LIBERATION DE
LA FEMME : PARLONS-EN… ! 
     La question de la liberté de la femme, certains préfèrent plutôt parler de libération…, a toujours été abordée avec une prudence jugée, selon des cas, soit exagérée, soit hypocrite… 

Au Maroc, surtout depuis une dizaine d’années, le statut de la femme, en milieux urbain et rural confondus, a connu une évolution notoire, sur la majorité des points de vue socioculturels, économique, éducatif, politique. 

Mais le phénomène qui intrigue le plus, c’est la multiplicité et la diversité des représentations, qui accompagnent  l’épanouissement de la femme tout au long de sa vie. 

De nombreux préjugés, demeurent le plus souvent choquants, et à plusieurs justes titres. La société marocaine, de par ses origines, ses traditions séculaires, reste profondément attachée à son passé, et au passé de ses ancêtres. 

Toutefois, ce n’est pas toujours le cas, dans certaines grandes agglomérations, où la femme travaille aux cotés de l’homme. Elle a pu réaliser des percées considérables, sur tous les plans, grâce à son niveau d’études, sa volonté, et son dévouement exemplaire. 

Néanmoins, souvent, c’est l’homme qui s’érige en tant que défenseur des droits élémentaires de la femme. Ainsi, lorsque l’on parle de sa libération                                                                                on  sous entend que ce sont bien les hommes qui, tour à tour, prennent le flambeau de sa libération, ou assument l’acte de sa domination. 

En d’autres termes, si libération de la femme il y a, ce serait bien de sa dépendance de l’homme, de sa domination par l’homme qui, paradoxalement, revendique le droit et le devoir de la libérer de son joug. ! 

Une femme libre n’est-elle pas celle qui lutte, qui se bat, qui combat, au moyen de ses propres armes, pour recouvrer sa liberté, et signer son acte de libération, non plus exclusivement du joug de l’homme, mais désormais des injustices, des oppressions, de l’illettrisme de l’analphabétisme 

Dans ce sens, la femme marocaine est vivement appelée à livrer deux types de combats distincts, mais nécessairement complémentaires : 

1/Un combat pour se libérer elle-même, d’elle-même, et acquérir ses droits de femme libre et émancipée.  2/Un combat aux côtés de l’homme, pour la défense des D.D.H, la défense des valeurs universelles de l’humanité toute entière. /. 

DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI 

FAUDRAIT-IL INDEFINIMENT SATISFAIRE…

Samedi 25 décembre 2010

              FAUDRAIT-IL INDEFINIMENT SATISFAIRE

                                     LES CAPRICES D’ISRAËL… ?!    Depuis 1948, la communauté internationale, en général,  et l’Occident en particulier, tentent par tous les moyens d’éviter tout malentendu, ou mésentente                       avec Israël qui venait à peine d’envahir et d’occuper  la terre de Palestine. 

Ce crime de spoliation fut perpétré au vu et au su de tous les états du monde. Il ne fallait guère   s’attendre à d’éventuelles réactions de  désapprobation, d’autant plus que les grandes puissances étaient les principales instigatrices du complot le plus ignoble et le plus infâme que l’humanité n’ait jamais vu. 

Israël  a désormais le feu vert et la garantie de l’impunité. Il se livre à de                             véritables expéditions de  purification ethnique génocidaires, devant une opinion internationale impuissante pour ne pas dire indifférente. 

Chaque fois qu’il commet des crimes de guerre, le Conseil de Sécurité de l’O.N.U.,  se trouve dans l’incapacité d’agir ou de réagir, car systématiquement bloqué par des vétos protecteurs, défenseurs, obstructeurs. 

Israël sait depuis toujours que sa sécurité est garantie par des superpuissances. Cela ne l’a pas dissuadé de posséder une armée des plus modernes de la planète. 

De surcroît, il mise intelligemment sur les divergences et les discordes qui affectent chroniquement ses voisins arabes et tout le monde arabo-musulman. 

Son secret diabolique se résume en  deux mots : sa victimisation. 

Grâce à sa parfaite connaissance de ses ennemis jurés, le Hamas, le Hezbollah, l’Iran, Israël se permet le luxe d’attiser  des  luttes fratricides, en exploitant efficacement son système d’informations qui couvre tous les continents.   

Fortement appuyé et soutenu par des lobbies super influents dans la majeure partie des grandes capitales, il parvient aisément à faire financer ses macro-  projets de développement durable sur tous les plans de vie sociale quotidienne. 

Mais, sa véritable force de persuasion et de dissuasion, réside indubitablement dans son système politique de démocratie participative d’opinion. Aussi s’impose-t-il sans conteste, en tant que puissance régionale, capable de faire la différence et de jouer le trouble fête partout où l’exigent ses intérêts. 

   Avec un tel profil, Israël peut commettre les pires crimes de l’humanité sans pour autant craindre la plus anodine représaille de quiconque. Puissant, il se dit vulnérable. Vulnérables, ses ennemis se disent puissants. /. 

DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             

LE RÖLE ESSENTIEL DES MEDIAS, C’EST SURTOUT DE MENER

Jeudi 23 décembre 2010

 LE RÖLE ESSENTIEL DES MEDIAS, C’EST SURTOUT DE MENER     DES INVESTIGATIONS, ET D’EN INFORMER LES CITOYENS…. ! 

   Je crois, en tant que lecteur assidu de certains médias de notre presse écrite nationale, qu’il y a un décalage effrayant et inadmissible entre l’approche informative empruntée par de tels médias  d’une part, et les attentes et les exigences des citoyens d’autre part. 

 Il en est de même, pour la communication audiovisuelle nationale. Ce n’est pas la mer à boire, si l’on s’intéresse un  petit peu de près, on constate un autre type de décalage, celui-là horrible, entre la manière et le contenu informatifs de
la R.T.M. et les représentations légitimes que se font les citoyens des actes d’informer, de communiquer, de se former… ! 

   Prenons un exemple d’informations nationales, ayant trait à l’état d’instabilité des relations maroco-espagnoles. Comment se fait-il que la quasi-totalité des médias nationaux officiels, semi-officiels, ne font que rapporter du déjà dit, du déjà écrit, du déjà présenté, du déjà raconté ? 

        Est –ce que cette approche unilatéale, unitextuelle, uniformelle, est imposée par des instances occultes quelques parts ?  Est- ce strictement interdit d’informer différemment ? 

     Est-ce formellement prohibé de se déplacer sur place, de procéder à des investigations spécifiques à chaque cas, à chaque situation, à chaque idéologie sociopolitique, socioéconomique…? 

  Si c’est bien/ou presque le cas, ne serait-il pas temps de le dénoncer vigoureusement, légalement, objectivement, démocratiquement ? 

      Mais, il est clair que désormais ce n’est plus le cas !!! De quelle pluralité, de quelle diversité,  de quelle transformation du paysage scripto-audiovisuel cherche-t-on à nous gargariser du matin ,  au soir ? 

  Pour ce qui est des informations internationales, n’en parlons pas : elles sont copiées littéralement, textuellement, de sources bien déterminées : aucune créativité, aucune prise de position, pas la moindre tentation, ni tentative de réaction. ! 

   Mais c’est de cette manière qu’on déforme les actes d’informer, en se limitant à copier, à coller, et à rapporter. Alors de quelle liberté de penser, de réfléchir, d’agir, nous parle-t-on sans cesse. ?!./  DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI 

LE GRAND MAGHREB ATTEND TOUJOURS SON VISA… !

Mercredi 22 décembre 2010

          LE GRAND MAGHREB ATTEND TOUJOURS SON VISA… ! 

    D’éminents analystes, spécialistes des questions du Grand Maghreb, s’interrogent, non sans peine, sur les causes réelles du retard, désormais inquiétant, de la concrétisation du projet Maghrébin. 

   Jusqu’ici, ils se rabattaient facilement sur la piste, qui leur paraissait la plus plausible, en l’occurrence, celle de l’affaire épineuse du Sahara. 

   Dans la foulée, ils invoquaient au conditionnel, certaines des raisons objectives ou subjectives, qui pousseraient les uns ou les autres à bloquer systématiquement, toute initiative de résolution qui pourrait, autant que faire se pourrait, sortir le dossier du statuquo où il gisait depuis 1975. 

    Parmi ces éminents politologues, surgissaient ceux qui voulaient s’ingénier à montrer du doigt, selon des occasions, Le Maroc ou  L’Algérie, en se référant, encore une fois facilement, à la guerre des sables de 1963. 

     D’autres, par excès de zèle intentionné, avaient opté, sans hésiter, pour une approche des plus globales intégrant le sort du Grand Maghreb dans celui, plus vaste, du moyen orient, compte tenu des divergences de  positions des uns et des autres, concernant les foyers de tension qui secouent le monde arabo- musulman. 

      Ainsi, il aura fallu que le projet U.P.M., soit proposé de l’autre côté de
la Méditerranée,  par son auteur M. Sarkozy, pour que tous les observateurs internationaux, comprennent enfin, que le destin du projet du Grand Maghreb, ne dépendait point exclusivement de la bonne volonté ni du bon vouloir de ses dirigeants. 

        On aura bien reçu le message « nordiste » : toute création d’une quelconque entité régionale en Afrique du Nord, devrait au préalable, recevoir la bénédiction et l’accord explicite des grandes puissances occidentales : on appelle cela, en géopolitique, le critère de conditionnalité.       Entendons par cela, que les états maghrébins se devraient, impérativement, de s’engager explicitement à prendre toutes les dispositions nécessaires et suffisantes susceptibles de 

1/Stopper le flux migratoire, en direction du continent européen.  2/Sécuriser leurs frontières du sud, proches du couloir du Sahel. 3/Sécuriser l’approvisionnement de l’Europe en richesses naturelles.   

4/Contribuer à trouver une solution au conflit Israélo- Palestinien.

5/Contribuer à la concrétisation et à la réussite du projet de l’U.P.M. /. DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            

MUNICIPALITES A L’AUNE DES OPPOSITIONS SECULAIRES… !

Mercredi 22 décembre 2010

      MUNICIPALITES A L’AUNE DES OPPOSITIONS SECULAIRES… ! 

                                                                              

     Symbole grandiose des démocraties avancées, une municipalité s’impose au fil des jours, comme une structure fondamentale de planification, de programmation, de gestion, et de développement des villes, conformément aux orientations d’une politique ambitieuse, mais réaliste et pragmatique. 

    Elle représente un maillon incontournable, d’un processus rigoureux  et éprouvé, de multiples actions d’une décentralisation intelligente, pensante, servant de socle fermement consolidé. 

     Il s’agit d’une véritable rampe de lancement des projets de mises à niveau-habilitations, réhabilitations, corrections, réaménagements, remodélisations… 

     Aucune opacité n’est tolérée, grâce à une vision claire, intégrant en ligne de compte, le critère essentiel de conditionnalité adaptatrice aux exigences d’un futur qui ne pardonne guère le moindre tâtonnement, la plus petite improvisation : tout est calculé, mesuré, authentifié, selon les règles de l’art et en toute transparence. 

     En ce sens, une municipalité incarne une harmonie citoyenne, entre un état  superviseur et garant, et une structure gestionnaire, de la chose publique. 

      Sur le plan des échanges, la communication circule, horizontalement et verticalement, avec une fluidité remarquable. Les discussions embrassent, en amont et en aval, les points de l’ordre du jour, dans une ambiance de sympathie, d’entente, de coopération engagée et  hautement responsable. 

     Dans la rue, on admire, on apprécie, on valorise les actions et les activités organisées par les services de la municipalité, la municipalité des citoyennes et des citoyens, dont la raison d’exister se confond heureusement,  avec les attentes, les vœux et les aspirations des populations, au centre de toutes les préoccupations, autour desquelles se suivent et se poursuivent des réalisations visibles, concrètes, observables, évaluables. 

    Certes, les personnels d’une municipalité n’appartiennent pas à un même groupe ou parti politique, mais ce qui les unit est plus important que tout le reste : ils n’oublient presque jamais que de la diversité jaillissent des étincelles puis des lumières qui éclairent les villes et les esprits. 

    Nous souhaiterions tant, que toutes les municipalités en Afrique, sans exception,  accèdent au rang magistral, des grandes municipalités du Continent, et de celles des grandes capitales du monde.  N’oublions pas, que l’image que se font les citoyens de leurs municipalités, reflète, dans une large mesure, celle que se font les citoyens de leurs pays. /. DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI 

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